La vie en entreprise en 6 leçons !!

Leçon n°1 : Ces petits détails qui peuvent vous faire embaucher !

Lors de l’examen des candidatures, un recruteur se base sur le CV et la lettre de motivation du candidat. Mais cela ne fait pas tout, la façon d’être, le contact humain joue aussi beaucoup dans sa décision finale post entretien.

Mais alors quels sont ces petits plus qui pourraient aider à être engagé ?

A la question, « si vous êtes confronté à deux candidats aux qualifications professionnelles exactement égales, quels autres facteurs vous feraient pencher en faveur de l’un ou l’autre ? » les recruteurs ont répondu :

–      27 % : le candidat avec le meilleur sens de l’humour

–      26 % : le plus impliqué dans sa communauté

–      22% : le mieux habillé

–      21% : celui avec qui ils ont le plus de choses en commun

–      13% : le plus en forme physiquement

–      8% : le plus au courant de l’actualité et de la culture pop

–      7% : le plus impliqué dans les médias sociaux

–      4% : celui qui s’y connait le plus en sport

Attention également aux facteurs dont les recruteurs se méfient !

–      71% : Dire « ce n’est pas mon job »

–      69% : Etre souvent en retard

–      64% : S’approprier le mérite du travail d’un autre

–      35% : Ne pas s’habiller de façon professionnelle

–      30% : Dire des gros mots, jurer

–      8% : Avoir eu une relation amoureuse avec un collègue (Je ne vois pas comment le recruteur pourrait être au courant mais bon …)

Leçon n°2 : Comment se faire bien voir de son patron ?

Le tout sans passer pour un lèche-bottes, évidemment.

Pas facile d’être bien vu de son chef. Surtout lorsque l’on a une armée de collègues prêts à casser du sucre sur le dos à la moindre occasion.

Que faire alors pour devenir un employé modèle sans être le cire-pompes de service ?

Ne pas dire « Amen » à tout, d’abord parce que certaines questions n’amènent naturellement pas cette réponse telle que, « Tu veux un café ? », « Amen » ne serait pas une réponse cohérente et ensuite parce qu’il faut savoir montrer à son patron que l’on n’est pas le toutou de service.

En revanche, proposer des solutions et avancer des idées pour que les réunions interminables deviennent enfin utiles permet de marquer des points.

De plus, bien s’entendre avec ses compagnons d’arme peut s’avérer utile. Déjà parce que les journées sont quand même moins longues lorsque vous avez des gens avec qui parler/râler/rire. Ensuite, parce que vous n’êtes pas seulement là pour plaire au grand chef. Ce dernier appréciera que vous soyez bien intégré à l’équipe.

Leçon n°3 : Les phrases qui vont rendre fou votre patron !

On prend parfois ses aises avec le patron. Attention quand même à ne pas devenir borderline. Certaines phrases sont à bannir du vocabulaire professionnel.

« Comment voulez-vous que je fasse ça, exactement ? » Tout ce que veut le patron, c’est que le boulot soit fait. A moins d’être le petit nouveau de la boîte, évitez de lui faire perdre son temps. Il ordonne, vous exécutez.

« C’est mon idée, je veux m’en attribuer tout le mérite. » L’égo surdimensionné est très mal vu. Même si l’idée vient de vous, c’est le patron qui la valide, et l’équipe qui bosse dessus en collaboration avec vous. Le mérite revient donc à tout le monde.

« Je vais essayer de finir dans les temps. » On fait, ou pas, mais « essayer » ne fait pas partie du vocabulaire des patrons.

« J’ai besoin d’évacuer la pression ! » Prendre son patron pour son psy est une très mauvaise idée. Prenez sur vous, et ne montrez aucune faiblesse à votre boss qui n’a qu’une idée en tête, faire avancer ses projets.

« Tu es sûr que c’est la bonne décision ? » Remettre en question les choix du chef n’est pas un acte très malin d’autant plus si c’est fait en présence d’autres personnes. De plus, souvenez-vous toujours que même quand il a tort, le chef a raison !

Leçon n°4 : Pourquoi le patron ne peut-il pas s’empêcher de gueuler sur ses employés ?

Le chef est un être à part dont les mécanismes de la logique semblent parfois être rouillés par l’exercice du pouvoir.

Le patron est une bête sauvage évoluant le plus souvent dans le milieu de l’entreprise. Pouvant être de sexe masculin ou féminin – et pouvant passer de l’un à l’autre au gré des coups de bistouris d’un chirurgien plastique hors de prix -, il est généralement un ancien employé auquel on a confié quelques responsabilités plus ou moins grandes, selon son profil.

Le patron reste facilement reconnaissable, son attitude le trahissant tout autant que sa maîtrise approximative du franglais et des anglicismes.

Le patron use de plusieurs méthodes pour se faire respecter. Il peut, par exemple, s’inspirer du loup en menant sa meute vers son objectif tout en se battant à ses côtés. Mais l’usure du pouvoir lui fait parfois (souvent) perdre les pédales, le chef finit par s’inspirer du gorille qui passe son temps à hurler et à prendre du bide. Il réclame d’ailleurs des offrandes pour combler la réduction drastique de ses capacités par l’accroissement exponentiel de sa bedaine.

Mais c’est lorsque ses chevilles et son égo atteignent leur taille critique que la situation devient ingérable. Conscient de sa position et de la précarité de sa situation, il risque de devenir agressif et de montrer les crocs devant chacun de ses subordonnés. L’employé résistant sera alors traité comme le dernier des terroristes et mis à l’écart de la meute, les stagiaires eux, seront humiliés en public. Une manière comme une autre de démontrer sa force au reste du groupe.

Fort heureusement, de très nombreux patrons ne répondent pas à cette description, l’espèce que nous avons étudiée aujourd’hui étant à classer parmi les plus dangereuses recensées en milieu urbain.

Leçon n°5 : Ce collègue qui ne fout rien mais qui est mieux payé que vous !

Et c’est souvent un abruti !

Dans une entreprise, les employés se divisent en deux catégories, ceux qui ont des salaires indécents et ceux qui bossent. La désagréable sensation d’être sous-payé et mal considéré a déjà traversé l’esprit de beaucoup de travailleurs (à tort ou à raison). Cette impression est généralement confortée par l’existence inexpliquée d’un employé totalement inutile dont le salaire surclasse largement le vôtre.

Ce type est d’ailleurs le même à peu près partout. Il dispose d’une bonne expérience qui justifie qu’on lui donne un joli pécule en fin de mois, il est peut-être même relativement doué et s’entend bien, voire très bien, avec votre n+1. Tout cela serait donc parfaitement justifié s’il daignait faire autre chose que du shopping sur le web et des pauses à longueur de journée.

Difficile de lutter face à ce fléau ! Quelle posture adopter ? Partir sans se retourner pour vendre ses services ailleurs ? Tout à fait concevable. A ceci près que le risque de tomber une nouvelle fois face à un branleur fini de la même espèce est élevé.

Reste alors la solution du défouloir. Ce n’est certes pas très fair-play de faire remarquer à tout le monde l’injustice subite, mais cela permet de souder l’équipe contre un ennemi commun.

Autre solution, adopter la même stratégie que cet être insupportable …

Leçon n°6 : Les pires cauchemars à propos du boulot !

Qui ne s’est jamais réveillé en sueur après avoir cauchemardé à propos du boulot ? Être nu, en retard, tomber devant tout le monde … On ne manque pas d’imagination quand il s’agit de s’inquiéter sur la vie au travail. Forbes a recensé les pires cauchemars que l’on fait à propos du boulot, en voici les résultats :

Être nu, dans ce cauchemar, vous êtes soit entièrement nu, soit habillé de manière très gênante. La plupart du temps, vous êtes paniqué mais personne d’autre ne semble prêter attention à vous.

Coucher avec une collègue, ici, vous vivez une relation intime avec une collègue ou, plus encore, avec une supérieure. Généralement, vous ne ressentez aucune attirance particulière pour cette personne dans la vie réelle. Du coup vous vous réveillez un peu confus.

Ne pas trouver les toilettes, vous parcourez les couloirs mais impossible de trouver les toilettes. Ou alors, vous y êtes mais vous ne parvenez pas à fermer la porte. Mieux, il n’y a carrément pas de porte.

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